Gabriel haussa un sourcil étonné face à la réaction soudaine de la demoiselle, il ne s'y attendait pas vraiment, elle qui semblait si réservée ... Mais, aux paroles de cette dernière, il esquissa un sourire amusé tout en prenant un faux air contrit et coupable.

-Oh, vous savez gente demoiselle, il est très difficile de se retenir de faire vos éloges. Pareil être que vous ne se croise point à tous les bals, pour ne pas dire de façon plus vulgaire qui ne convient point à votre rang : à tous les coins de rue ... Vous avez la beauté, ce qui est assez rare, ainsi que la gentillesse et la modestie, nulle trace de prétention en votre personne, ce qui fait de vous une perle très recherchée ...



Prise à nouveau d'un certain malaise, Freya pinça les lèvres. Dans le cas présent, tout comme Reed en fait, elle ressentait l'envie de s'éclipser. Sauf qu'en plus, elle aimerait se terrer dans un trou, hiberner pendant un long moment, en attente que les choses se passent, et ressortir au printemps fleurit quand tout irait mieux. Malheureusement, elle n'était un pas un ours et ne pouvait donc pas se reclure dans un espace clos pour y passer un long sommeil tranquille.

-Je ... Je crois que mes paroles ont mal été interprétées ou mal comprises ... Je ne me moque nullement de vous et ne m'amuse pas de cette situation que vou semblez juger d'embarrassante. Simplement, je redoutais simplement notre rencontre car je ne suis pas favorable au mariage ... Cette idée m'est impossible à accepter pour dire vrai, que ce soit avec vous ou un autre ... Comme fut le mari de ma défunte soeur, je croyais que j'allais me retrouver promise à un homme des plus éxecrables, ce qui n'est heureusement pas le cas ... Et cette situation est peu commune, mais je ne la trouve en rien amusante dans le sens de la moquerie, juste que je me sens plus en confiance ...

Expliqua t-elle d'un ton doux, ne sachant pas vraiment comment s'y prendre ... Et encore, une fois ces paroles prononcées, la jeune femme eut encore plus envie qu'un trou se forme sous ses pieds et l'emporte vers un endroit paisible où elle n'aurait rien à craindre.

Peu à peu, les joues de l'albinos, qui avait déjà une peau fort blanche au naturelle, se colorèrent sans tarder du rouge de la honte. Un trou ... Une cachette ... Un événement innatendu ... Que n'importe quoi arrive mais pourvut que ça permette de changer les idées à tous !

L'esprit à présent occupé par "comment s'enfuir discrètement sans paraître malpolie ou perdre sa fierté", elle fut sortie de ses ruminantes pensées par la voix de Rosald qui lui proposait de les suivre.

-Je ... Je ne sais pas, je ne voudrai pas plus infliger ma présence à Sir Reed ...

Balbutia-t-elle tout en jouant nerveusement avec les pans de sa robe, les yeux baissés sur le sol comme si c'était la plus belle chose du monde. Oh, mais qu'est-ce qu'elle devait paraître cruche ou empotée ... Un trou, vite, de grâce ! Ce n'était certainement pas Dame Effie qui s'était laissé ainsi aller hier à l'annonce de son mariage avec le roi Will Dark !

A l'évocation silencieuse et mentale de celle qu'elle considérait comme son amie, Freya leva la tête pour poser instinctivement son regard sur une tour. Où était Effie ? Comment allait-elle ? Pourquoi n'était-elle pas présente au déjeuner ? Tant de questions qui tordirent l'estomac de la demoiselle aux cheveux blancs à cause de l'inquiétude ... Effie ... Etait-elle seulement encore ici ?



-Quel que soit l'endroit, la date ou l'année où l'on aurait fuit, vous ou Mary aurez fini par nous retrouver. Seule, j'avais déjà un certain mal à converser mon anonymat alors que je passais pour morte ... Mais avec mes soeurs, il aurait été dur pour nous de pouvoir vive en paix, et une fois retrouvées, le châtiment que l'on aurait subi nous aurait détruites ... Déjà que la perte de notre liberté provisoire aurait été douloureuse, mais alors la suite ... Et comment se caher lorsque nous sommes triplettes, chose peu courante, et dont deux sont siamoises, ce qui réduit encore la possibilité de nous cacher ... Tout n'est que question de logique et de compréhension. Peu importe mon choix dans le plan de l'évasion, nous en auriont pati toutes les trois ...

Expliqua t-elle, la tristesse se lisant dans ses iris écarlates. Lacie était maligne, très futée même, mais elle savait aussi évaluer les risques quand la cause était dangereuse, et jamais elle ne prendrait de décision risquant de mettre la santé de ses soeurs en danger.

-Voilà des paroles qui la raviront, elle qui supplie Jamies depuis des années pour qu'il dégaine son épée contre elle en combat singulier ... Et sachez que je ne doute nullement que dans les deux cas, le sien et le votre, vous serez tous deux satisfaits du combat ... D'ailleurs, si cela ne vous dérange pas, j'aimerai être présente quand ce moment arrivera ... Ce sera un beau spectacle ...

Pour la première fois, un sourire rêveur se dessina sur ses lèvres. Nul doute que la conscience de l'aîné des triplettes, l'albinos, avait une influence sur l'esprit de Lacie en cet instant. Comme si c'était Alyss qui souriait à la place de la dernière de la fratrie ...

-Pourquoi restez-vous ici alors que vous n'avez simplement qu'à fermer partir, sachant très bien que je n'ai aucune possibilité de fuite ?



Pour une rare fois, le visage du roi afficha une expression agacée. Ses sourcils se froncèrent légèrement alors qu'il reprit la parole :

-Les faits, Mirianne, les faits. Veuillez réfléchir un peu et me prouver qu'il n'y a pas qu'un être têtu doté seulement du don de la danse dans votre tête. Vous êtes capable de découvrir la vérité par vous-même, sinon quoi je ne vous défierai pas de trouver la réponse à cette question. Qu'est-ce qui peut bien pousser un homme autrefois acceptable à un monstre, comme vous le dîtes si bien, sans vergogne ? Cela ne peut pas être pas pure envie, il doit y avoir quelque chose de plus profond, il vous suffit de creuser un peu ... Bon sang, tous les éléments son atour de vous, il ne vous suffit que d'assembler les pièces du puzzle en vous posant les bonnes questions !

Puis, une lueur de défi semblant traverser son regard glacial avant que tout sentiment ne disparaisse de son visage, il ajouta, mot pour mot :

-Vous ne réfléchissez pas, vous vous laissez aller ... C'est moi qui vous donne les questions essentielles sur lesquelles s'interroger, vous devrez le faire vous-même ... Votre intelligence n'est pas vraiment un atout pour vous, vous ne semblez pas en posséder en dehors de votre entêtement ...

Enfin, comme si tout cela l'indifférait à présent totalement, il se rapprocha de son bureau avant d'y prendre place. Prenant quelques feuilles en main, il les lut attentivement avant qu'un serviteur ne lui annonce l'arrivée de sa cousine. Ainsi Mélodie sera présente pour les festivités et risque fort bien de rencontrer son futur fiancé ... Parfait, il fallait laisser les éléments faire leurs travail le plus simplement du monde ...

-Transmettez mes plus sincères salutations à ma cousine et ajoutez que je lui souhaite un agréable séjour en Ecosse ...

Sur ces mots, le souverain déposa sa montre sur son bureau avant d'observer à nouveau sa future femme.

-Alors, que décidez-vous : tenter de résoudre le mystère ou rester indéfiniment dans l'ignorance ? Un nouvel indice pour vous prouver ma bonté : je ne vous révèle pas cette réponse car vous ne me détestez pas encore assez, vous pourrez être attendrie ou me trouver une bonne raison de ne pas me détester ...

(D'accord pour Damon, j'attendrai la réponse ! ^^Il se peu qu'à partir de demain je ne puisse plus me connecter, mais je ne sais pas le jour exact alors je ne peux pas prévenir pour une durée précise, pardon ^^' )

Dernière modification par nonomewtow (2013-07-12 22:56:35)

Kega s'arrêta un instant, les point et les dents serrés. Il grommela un "Non mais c'est pas possible ! Je leur en ficherai, moi, des mariages !" avant d'apercevoir une silhouette féminine et, il faut l'avouer, très attirante. Il avait appris très jeune à se cacher pour écouter et observer les discutions que l'on avait à propos de son frère. Il suivit donc discrètement la mystérieuse, sans, bien sur, se douter qu'elle était celle à qui il était promis.





Lili se mit à rire en voyant son fiancé entrer dans son jeu. Puis, elle s'arrête, fixant le jeune homme avec une petit air timide et heureux. Elle regarda autour d'elle, puis son regard se posa une nouvelle fois sur Gabriel. Elle pencha la tête de côté et lui demanda en souriant :

- Avez-vous déjà vu du théâtre ? Tout semble tellement réel sur scène ! Et de la danse ? Vous en avez déjà vu ? On dirait des papillons qui volent ensemble...





Lou avait appris le matin même que l'on l'avait promise à un homme. Lorsque qu'on lui dit cela, elle leva simplement un sourcil avant de sortir de la pièce. A présent, elle était avec sa servante, qui était aussi son amie. Elles étaient devant le château des Jamies. Son père avait tenu à ce qu'elle y aille, et  elle expliquait pourquoi elle avait accepté.

- Ma soeur, Lili, a elle aussi été fiancée. Elle est tellement jeune ! Je me demande pourquoi mes parents ont absolument voulu nous marier en même temps. Quoi qu'il en soit, elle doit le rencontrer ce soir, et je compte bien voir à quoi il ressemble. Bien sur, il est clair que s'il lui fait le moindre mal, je l'étriperai !

Elle se mit à rire. Sa servante, qui portait son manteau, lui demanda si elle allait accepter ce mariage. Après tout, elle ne le connaissait pas, cet homme. Lou répondit :

- Ma chère, croyez-vous vraiment que je vais me laisser marier à un homme dont je ne connais rien ? Non ! Bien sur que non ! Je vais voir à quoi il ressemble, mais je ne pense pas que je marierai !

Elle éclata une nouvelle fois de rire. Un rire clair et heureux. Elle dit au revoir à son ami et entra dans la château. Elle n'avait pas fait trois pas que la servante revient :

- Lou ! Lou ! Vous avez oublié votre manteau !

(Nono' Je ne retrouve plus le dernier mess' de Victoire, tu sais s'est quel post ? )



-Mais je n'en ai rien à faire de me poser les bonnes questions ! s'exclama Mirianne de plus en plus furieuse. Ce que je veux se sont des réponses pas des questions !  Un jour je trouverai quelqu'un de plus aimable que vous qui voudra bien me révéler tout sans s'entourer de mystères étranges et prendre dix chemins !

Ensuite, quand François osa lui répéter mot pour mot ce qu'elle lui avait demander de redire, un étrange sourire se peint sur ses lèvres. La jeune femme était indignée et sa colère était à son seuil, à son maximum. La danseuse leva sa main libre puis... de toutes ses forces, elle gifla François, laissant une jolie marque rouge sur sa joues.

-Vous l'aurez cherché, dit-elle simplement sur un ton de défis.

Son fiancé semblait avoir un faible pour les défis alors qu'il en profite bien et qu'il en donkeyûme les conséquences ! Ensuite, elle fut tirée vers le bureau du roi. La ballerine le regarda travaillé, en silence jusqu'à ce que l'attention du souverain se reporte sur elle. Là, elle faillit s'étouffer, un court rire lui échappa.

-Vous voulez rire j'espère ? Être attendrie ? Par quoi ? Votre manière grossière de traiter une dame ou votre attitude froide permanente ? Quant à votre première question je crois que rester dans l'ignorance est préférable plutôt de "marchander" avec vous.



-Vous avez un bon raisonnement, encore, quelque chose qui me pousse à vous prendre pour femme, dit-il avec un sourire amusé puisqu'il venait encore de retourner un argument de Lacie contre elle.

Suite aux paroles et au sourire rêvasseur sur les lèvres de la jeune femme, le sourire d'Antonio s'agrandit aussi.

-Alors, je veillerai à ce que vous soyez présente, si tel est votre désire, fit le jeune prince. Vous savez, vous êtes beaucoup plus jolie lorsque vous souriez.

Son regard glissa vers sa nouvelle clef avant de revenir sur la captive.

-J'aime discuter avec vous.

Il haussa les épaules.

-Pourquoi arrêter une si charmante discussion si tôt ?



-Mais bien sûr, voyons... Remettriez-vous ma parole en doute ? susurra à Reed.

Ensuite, il observa sans broncher le petit  "manège" de gentleman que son interlocuteur masculin esseyait auprès de Freya. Voulait-il la draguer ? Mais pourquoi draguer une femme qui lui était déjà promise ? Ahhhh ! C'était les mystères de la vie ! Supposa Rosald. Il lâcha un soupire las, avec ennuie. La technique de drague du gard l'exaspérait totalement ! Comment pouvait-on être aussi mauvais dans ce domaine ? Même s'il n'avait pas entendu les paroles roses et bisounours qu'avait chanté Reed à l'oreille de sa fiancée, je peux vous assurer que Rosald n'avait pas la moindre envie de vouloir épouser Freya ! À vrai dire, le jeune homme aux yeux vairons avait les mariages en horreurs ! Pour lui, ce n'était qu'un plan bien trouvé pour brimer les hommes dans leur liberté et les forcer à ne partager leur couche qu'avec une seule femme au lieu de... combien ? Jusqu'à combien Rosald le pervers était-il allé ? Mystère... Il aurait fallut le demander au principal concerné. Quand l'homme qui se plaisait à mentir en eu finit avec sa future femme et qu'il lui proposa tout haut de ne pas venir, son sourire s'accentua.

-On cherche à être seul avec moi, maintenant ? lâcha-t-il près de l'oreille du fils adoptifs des Sinbad, de façon à ce que seul lui l'entende.

Après, il offrit un sourire chaleureux à la lady puis lui fit un signe de la main.

-Voyons ! Ne l'écoutez donc pas ! Venez avec nous, vous ne dérangez pesonne, pas vrai ? (il lança un regard de biais à Reed avant de poursuivre:) Vous dîtes aimer les scoop's et être au courant de tout alors un homme étrange comme moi n'a certaintement pas manqué de vous intriguer, je me trompe ?

De façon muette, il bougea les lèvres pour dire un : "Pas de chance ! " à Reed avant de sourire de nouveau et d'emboîter le pas à celui-ci.



La jeune fut légèrement touchée par les paroles de son fiancé mais elle secou la tête, refusant de se laisser attendrir.

-Je suis désolée, Seiko... J'ai de grands projets en attentes et je ne peux me permettre de dévier de ma trajectoir. Parfois, pour atteindre des objectifs, des sacrifices doivent être faits. Désolée... dit la jeune fille en se forçant à aborder un sourire léger et compatisant.

Joey se dégagea de son fiancé puis s'éloigna. Elle jeta un dernier regard aux jeune homme puis partit se mêler à la foule.

[À Kega]

Tout à coup, Joey finit par tomber sur ce qu'elle cherchait. Un jeune homme qui possédait quelques traits de ressemblances avec Seiko semblait suivre une jeune femme non-loin, la blonde s'approcha tranquille.

-Vous devez être Kega, n'est-ce pas ? Laissez moi me présenter je suis Joey. Mais que suis-je bête ! Qui ne connaîtrait pas déjà le prénom de la fiancée de son frère !? En parlant de Seiko, je viens d,avoir une charmante discussion avec lui, il veut annuler ce mariage. Il sait que j'en ai le pouvoir mais voyez-vous, moi, je n'en ai pas très envies, pour raisons personnelles. Alors, nous allons faire un petit marché, ok ? Vous allez lui parler et vous vous arrangez pour qu'il n'aille pas l'idée de me forcer à annuler ses fiançailles et en échange je veillerai à ce qu'il ne passe pas trop de temps Ailleurs une fois que nous serons mariés. Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée.

Sans lui laisser le temps de placer un mot, Joey s'éloigna puis sortit dans la cours du château.



Will resta un instant sans bougé, il semblait... consterné. Regrettait-il son geste ? Mystère mais qu'il le regrette ou non, il était trop tard pour reculer Le roi se força à sourire puis s'approcha de sa fiancée.

-Non, je ne vous garderai pas ainsi captive jusqu'à la fin. Vous assisterez au mariage du laird Jamies et ensuite nous irons à mon palais, dit-il simplement d'une voix neutre en hausant les épaules d'un geste nonchalant.

Le souverain s'assit sur le lit près de la jeune fille.

-Vous savez, j'étais venu pour m'excuser... mais en ouvrant la porte ce que je trouve s'est une Dame qui s'apprête de nouveau à fuir. La première fois ne vous à pas suffit ? J'aurai fint par vous trouver de toute façon.

Le monarque leva la main comme s'il allait la frapper mais il commença plutôt à caresser la somptueuse chevelure d'Effie, doucement.

-Je vous avais dit d'être moins effarouchée... rajouta-t-il avec un peu sourire en coin.

Dernière modification par pensina (2013-07-14 16:49:45)

La jeune fille observa la scène de là où elle était. A vrai dire, elle ne connaissait personne dans la salle et commençait à s'ennuyer quelque peu. Elle vit alors le garçon qu'elle avait vu auparavant dans le hall se faisant "agressé si on pouvait dire cela ainsi par une fille qui semblait lui sauter dessus comme si c'était vital.

La culture écossaise est vraiment bizarre pensa-t-elle? Était-ce une coutume de parler aux gens de cette manière et de partir sans aucune courtoisie? 

Elle n'avait que ce spectacle comme distraction alors elle suivait du regard le jeune homme ne semblant pas trop comprendre ce qui se passait. Ensuite, ce dernier fonça sur un autre homme. Mais c'est une manie chez eux pensa-t-elle. Elle n'aimait vraiment pas ces manières...

Il rejoignit un homme qui semblait lui ressembler un peu. Peut-être était-ce des membres d'une même famille? Quant à la la jeune femme qu'elle avait vue tantôt elle semblait se diriger vers la cour du château.

Mélody se leva alors de là où elle était et décida de visiter un peu les lieux pour occuper le temps. Personne ne semblait avoir réellement remarqué sa présence alors...

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Il se trouvait dans la salle des convives. Il feignait de sourire faisant comme si tout allait bien alors qu'il venait de vivre une des périodes les plus douloureuses de son existence: la mort de son père qu'il avait enterré il y a 3 jours avant de reprendre le titre de Laird.

Il tenait à s'excuser auprès du Laird de ces lieux de son retard même s'il avait des circonstances atténuantes. Il venait d'arriver alors que c'était le troisième jour des festivité.

Il cherchait alors Jamies du regard afin de clarifier les choses pour ne pas provoquer de malentendu entre les deux familles.

( ;) Bah, quoi ? Will est gentil de nature ! )

Le jeune roi sentit Effie se figer sous ses carresses. Les paumes du roi allèrent se plaquer sur les épaules de la jeune fille.

-Vous semblez tendue... lui murmura-t-il à l'oreille.

Will appliqua une légère pression sur les épaules de sa fiancée. Il écouta, ensuite, ce qu'elle avait à dire.

-Je ne parlais pas de ce toucher, dit-il doucement en soulevant le menton de la lady.

Le souverain émit un sourire léger. Peu importe le temps que cela prendrait, il se promit de réussir à dompter Effie. Elle était sa fiancée et le resterait alors elle allait agir comme telle.

-Parfois, il veut mieux éviter d'écouter son coeur et porter plus d'attention à sa tête, dit-il avec un petit air mystérieux avant de planter son regard écarlate dans celui de la dame.

Le suzerain se remit à carresser la chevelure d'Effie, malgré les réticences de cette dernière.

(XD Pauvre petite Effie, je la plains vraiment d'être tombé sur William mais vois le bon côté des choses : elle aurait pu tomber sur François ! lol )

Sa fiancée semblait toujours aussi réticente et tendue. Elle le détestait, c'était évident. Le jeune homme ne lui en voulait pas mais cela lui prendrait plus de temps que prévu pour la dompter.

-Quel intérêt aurais-je à vous amadouer ? Vous êtes ma fiancée, peu importe ce que vous pensez, vous n'avez pas voix au chapitre, dit-il simplement en haussant les épaules, exposant simplement un fait.

Le souverain sourit doucement, continuant de prodiguer ses caresses sur la chevelure soyeuse de la jeune femme qui allait devenir son épouse.

-Comptez-vous comme chanceuse, vous auriez pu tomber sur pire que moi comme mari.

Le jeune homme sourit à la requête de la jeune fille.

-Bien sûr, je reviens dans quelques minutes, dit-il avant de se lever et de se diriger vers la porte de la pièce.

Quand elle lui garantit qu'elle ne chercherait pas à s'enfuir, sons sourire s'accentua.

-Comme si vous le pouviez de toute façon ! s'exclama le souverain en désignant le poignet menotté d'Effie du menton.

Will quitta la pièce en repensant au moment serein qu'il venait de passer en compagnie de la jeune fille. Il l'avait sentit se relâcher un peu, se détendre, finalement, sous ses caresses, cette pensée  le fit sourire d'avantage. La preuve qu'avec un peu de temps sa fiancée serait facilement domptable. Une fois arrivé dans la grande-salle, le roi saisit une petite assiette qu'il remplit de croissant et de petits gâteaux aux noix de Grenoble. Essayant de ne pas se faire remarquer, il repartit vers la chambre de sa future épouse.

William tourna la poignée puis rentra.

-Je ne vous ai pas trop manqué ? lâcha-t-il en souriant avant de se rasseoir à côté de la jeune fille, sur le lit.

Il lui tendit le plateau de nourriture.

[Désolée de ma non-réponse, je fais ça dès que j'ai le temps !]

[ Pardon si ça a l'air un peu nul, je savais pas comment débuter la réponse. XD ]

Surprenant Effie grignoter son croissant au lieu de le manger, le roi lui prit sa nourriture des mains et en croqua un bon bout sans crier gare. Oui, elle avait faim. Pourquoi lui aurait-elle demandé de lui apporter ce plateau sinon ?

— Ce... n'acheva-t-elle pas.

À présent qu'il lui prêtait attention, il remarquait visiblement sa méfiance non dissimulée. Toutefois, cela aurait été stupide de sa part que celui-ci ne l'empoisonne maintenant. En y réfléchissant, si Effie mourait avant leur mariage, Sa Majesté aurait eu quelques difficulté à lui soutirer une descendance correcte. Après tout, il lui avait promis d'attendre avant de la toucher.

Plongée dans ses pensées, le roi lui remit son croissant entre ses mains et lui demanda — ou plutôt lui ordonna — de manger. Obéissant pour une fois, elle prit alors de plus grosses bouchées mais ne se pressa pas pour autant, cela lui évitant de penser à haute-voix.  Elle observa le roi, analysant sa vague réponse avec sérieux. Qu'avait-il voulu lui dire par ces paroles ? Ayant insisté sur sa promesse, Effie doutait qu'il ne la brise de sitôt. Pourtant, cela ne l'empêchait pas d'être un homme comme les autres, non ?

Cette idée mit la jeune femme mal-à-l'aise. Elle se mura dans un silence précaire tandis que son malaise s'accentuait d'autant plus lorsque Sire Will Dark l'interrogea sur ce qui la déplaisait chez lui. Tout ! Vous, votre existence... Évidemment tout... voulut-elle répondre. Elle ne put pourtant s'y résoudre, ceci relevant de l'insulte envers le roi. Alors qu'il venait de lui montrer un semblant de gentillesse, se montrer agressive serait impoli. Par ailleurs, pourquoi lui posait-il cette question ? Avait-il l'intention de changer juste pour lui plaire ? Effie avait un doute là-dessus. Cependant, c'était un risque à prendre. Si cela le changeait réellement et bien, leur coexistence deviendrait meilleure.

— Ce qui me déplaît... Voulez-vous réellement l'entendre ? fit-elle en levant ses yeux vers lui, des mèches noires lui glissant du front. Puis-je véritablement être honnête ? N'irez-vous pas retourner mes dires ? Elle esquissa un sourire en coin, un sourire encore amer... Excusez ma méfiance mais, vous le savez : dans ce monde, nous ne pouvons faire confiance à personne... même pas à ses parents.

Père... Elle reposa sa viennoiserie entamée et contempla longuement le plateau devant elle avant de finalement lui répondre. Elle n'avait pas grand-chose à perdre, si ce n'est que la vie.

— Je... Je n'aime pas votre impassibilité. Votre visage neutre alors que la situation est tout, sauf calme. Vous ordonnez, vous faites du mal en gardant toujours cette expression d'indifférence... Ne connaissez-vous pas la compassion ? La sympathie ? ...L'amour ? Ne pouvez-vous pas le montrer ? Au moins... Au moins, lorsque nous sommes seuls ? Même si ce n'est pas pour moi, même si vous ne m'appréciez pas plus que cela...

Les joues rougies, Effie dissimulait son visage derrière ses genoux ramenés à elle. Sans qu'elle ne savait pourquoi, ses paroles ne lui ressemblait pas. À aucun moment, elle n'avait pas voulu se montrer aussi... douce ? Cela donnait presque l'impression qu'elle souffrait que le roi ne la remarquait pas. Peut-être avait-ce été à cause de ses caresses que la jeune femme paraissait radoucie ? Peut-être se trouvait-elle déjà piégée par son stratège ? ...Non, ce n'était sûrement pas le cas. Effie McAffe n'était pas si facile.

— Et puis, je n'aime pas cette brutalité dont vous faites preuve... Je ne peux contester votre autorité ; vous êtes roi, cela s'entend et se voit mais... Sa Majesté n'est pas obligée de se montrer aussi dure. Si le peuple vous respecte effectivement, il n'y aurait pas de rébellion... C'est mon opinion, en tout cas.

Elle se contenta de fixer son interlocuteur de ses grandes pupilles azurées, derrière une barrière de tissu de soie blanche. À ce moment-là, elle paraissait juste innocente, juste une jeune fille de 16 ans et plus une lady.



[ Okay Qoo 'o'~ ]

(Oki^^)


(Je suis entraine de me demander qui est vraiment le pire entre Jonh et François... :) Pauvre Mirianne, elle n'est pas sortie du bois ! )

-Je ne suis pas franchement patiente, fit la jeune fille simplement suite aux premiers propos de François.

Mirianne croisa le regard de son fiancé qui semblait guetter une réaction de sa part et bien il allait être servie puisque quelques secondes après sa main était allée s'écraser violemment contre la joue du souverain. Combien de personne pouvait se vanter d'avoir giflé un roi dans sa vie ? Sûrement une minorité et maintenant elle en faisait partie.

-La séduction ? Vous voudriez que j'essaye de séduire un homme qui ne possède pas de cœur ? Vous semblez assez futé pour ne pas tomber dans les pièges d'une femme, de toute façon ! déclara la danseuse en faisant un compliment au roi sans vraiment le vouloir, quant à l'hypocrisie, je ne suis pas ce genre de personne... J'aime mieux être franche, au moins vous savez ce que je pense de vous !

De toute manière François ne se serait probablement jamais laisser berner aussi facilement... L'hypocrisie était inutile puisque cette technique ne fonctionnerait même pas avec son fiancé... Soudainement, elle se fit pousser dans une chaise derrière elle et, si vite qu'elle ne le vue pas venir, le monarque lui lia les poignets aux deux accoudoirs de ladite chaise. L'Anglaise se débattit, en vain... Les chaînes qu'utilisait le Français était plutôt solide. Les dernières paroles qu'il prononça résonnait encore dans ses oreilles, elle aurait crue il distinguer une pointe d'humour ou d'amusement. Sa malchance comme l'appelait-il, l'amusait-il à ce point ? La danseuse détestait la position dans laquelle elle se trouvait : complètement à la merci du roi de France.  Au moins, la ballerine pouvait se fier, du moins elle l'espérait, sur sa paroles : il ne la toucherait pas. La princesse ne comprenait plus grand chose à la situation, il avait voulu qu'elle le haïsse et qu'elle lui le démontre, il l'avait provoqué et elle l'avait giflé. Où était le problème ? Elle lui avait seulement donné ce qu'il désirait, non ?

-Ou à moins que je ne sois tombé sur le mauvais fiancé ? N'avez-vous donc point aucune considération pour l'espèce humaine ? siffla-t-elle avec un air un peu narquois.

Elle le fusilla du regard. Si des rayons laser sortiraient de ses yeux, le roi serait probablement mort à l'heure qu'il est ...

Mirianne ne pu s'empêcher de penser que ses poignets la ferait drôlement souffrir quand François se déciderait à la détacher car bien sûr, à moins de traîner la chaise avec lui, si François voudrait aller dormir il faudrait qu'il la détache. C'était obligé, elle espéra que le souverain ne veuille pas apporter la chaise avec elle comme la ballerine l'avait pensé.



Antonio sourit, amusé.

-Hum... peut-être mais je me verrai dans l'obligation de prendre ce silence comme un consentement ! s'exclama-t-il avec un amusement non-caché.

Si Lacie cachait ses émotions il en était tout autre de l'héritier Espagnol. Certes, devant la cour, il affichait un air impassible le plus possible mais en présence d'ami ou de sa famille proche, il se permettait d'être... lui même.

-Vous ne semblez pas être le genre de femme à user de séduction pour vous sortit d'un pétrin, vous ne voulez même pas vous marier alors je crois que cette fois votre beauté n'est qu'un délice pour les yeux et ne cache rien de beaucoup plus sombre, dit-il en reprenant un peu de son sérieux. J'apprend à vous connaître encore mieux avant de vous épouser et aussi cela fait longtemps que plus personne ne conteste mon autorité quelques petites joutes verbales ne me font pas de tort !

~Damon~

-Que voulez-vous ? fit-il en haussant les épaules avec nonchalance. Ainsi sont-elles faites les choses, vous n'y changerez rien. Il faut se conformer à cette réalité et à accepter la vérité : ceux qui sont mort, sont mort et ils ne reviendront pas.

Parfois, Damon pouvait paraître dur mais, selon lui, rien de mieux que de voir la réalité en face pour pouvoir l'affronter à son mieux.

-Voyez cela sous un autre œil : Votre Charles à bien défendu son pays et s'il se serait entraîner un peu mieux il aurait peut-être pu s'en sortir vivant.

Le jeune homme soupira.

-Descendez de ce cheval  et rentrez. Que pensiez-vous faire ? Je ne bougerai pas d'ici, alors vous pouvez me tuer et vous serez exécutée par la suite ou vous affronté votre destin et me raccompagnez à l'intérieur.



Will l'écouta parler. C'était donc cela ! Son impassibilité l'effrayait puisqu'elle ne pouvait savoir ce à quoi il pensait et ce qu'il allait faire, elle ne pouvait le deviner. Était-il heureux de le découvrir, de le savoir ? Mystère...

-Peut-être que cette expression neutre vous empêche de découvrir quelque chose de plus sombre et malsain en-dessous ? dit-il la mâchoire légèrement crispé et une lueur de tristesse, de douleur ou encore de colère dansant dans ses prunelles.

En fait, le souverain n'éprouvait pas de réelle émotions à l'instant. En lui, c'était une tempête, un méli-mélo de sentiments tous différents les un que les autres qui l'envahissait de plus en plus à chaque seconde de sa vie.

-Je l'ai connu, autrefois, je ne suis pas née avec cette expression que vous semblez me reprocher, j'ai connu la joie, la tristesse, la colère, la haine et même l'amour mais j'ai dû très tôt apprendre à faire taire ses émotions de peur que mes sujets ou que mes potentiels rivales ne distinguent plus aisément mes points faibles... expliqua-t-il, doucement.

Raconter cela lui faisait étrange. Jamais encore, le souverain ne s'était confier ainsi à une personne. Cela était tout nouveau pour lui.

-J'essayerais, j'essayerais de vous démontrer qui est le véritable moi mais cela ne sera pas facile...

William avait connu pire défi cela ne lui faisait pas peur.

Comme de la glace recouvrant son visage, il retrouva bien vite et bien malgré lui son expression de froideur et de neutralité.

-Vous ne pouvez me contester ? Mais ses pourtant ce que vous avez tenté de faire à deux reprises en tentant de vous échapper, non ? Les deux fois, je n'ai fait que vous rattraper et essayer qu'une troisième fois n'arrive.

Dernière modification par pensina (2013-07-28 19:30:44)

(Alors là, Pensi, je vais t'avouer que je n'en sais strictement rien XD Bonne question d'ailleurs ... Entre le roi insensible, aux tendances étranges et aux principes flous et le détective hautain qui se plaît à se croire supérieur aux autres et qui se croit le plus intelligent (ce qui est malheureusement en partie vrai XD)et qui est hyper heureux lorsqu'on lui présente un meurtre des plus glauques, je ne sais pas lequel est le pire des deux XD)



-je constate par vos paroles que vous ne me prenez pas pour un idiot et que vous ne me sous-estimez encore moins, je prends donc cela comme un compliment ... En effet, je ne serai pas tombé dans le piège. Je cotoîe des personnes hypocrites chaque jour, et avec le temps il est certain que j'ai appris à délier le mensonge de la vérité. C'est même la base du devoir d'un roi : ne pas se laisser berner par plus vil que soit ...

Répondit François, après avoir attaché sa fiancé, tout en regagnant tranquillement son fauteuil, n'ayant l'air nullement gêné de parler à une personne qui se débattait à ce moment précis. La jeune femme aurait beau s'agiter, tirer sur ses chaînes, le métal ne cédera pas, il était bien trop solide pour ça. Quant au fauteuil, imposant et robuste, nul doute le casser était une chose bien titanesque pour une demoiselle telle que la princesse ...

-Tomber sur le mauvais fiancé ? Non, je ne crois pas. De même que je ne me suis pas trompé dans le choix de la future épouse. Par votre physique et votre caractère, bien que doté d'une impulsivité tenace, vous êtes parfaite. Peut-être que cette hargne dont vous faîtes preuve en vous débattant et en me giflant, vous devrez la convertir en énergie pour vos réflexions. Les solutions sont devant votre nez, il vous suffit de vous poser quelques temps et le puzzle vous paraîtra aussi clair qu'enfantin. Cependant, je constate une nette amélioration : vous faîtes preuve d'ironie. Les mots sont des armes bien plus puissantes et cruelles qu'une épée car certes de la lame nous mourrons, mais des mots la blessure et cuisante et restera présente à vie ...

Sur ces paroles, il s'assit dans son fauteuil et s'empara à nouveau d'une plume avant de se mettre à rédiger une lettre.

-Considération pour l'espèce humaine ? Je suis moi-même humain avec mes forces et mes faiblesses, cela suffit amplement. Notre espèce, comme vous dîtes, est certainement la plus impur de tous les êtres vivants en ce monde. Nous tuons nos prochains par avidité du pouvoir, même si nous ne sommes pas aptes physiquement à protéger notre clan, nous aimons alors que cela peut nous mener à notre perte. Ce même amour ne durera peut-être pas, et nous nous lassons de notre compagnon pour finir par voir ailleurs et faire ainsi souffrir notre entourage ... L'amour même encore puissant entre les amants peut les amener à se détruire ou se faire détruire ... Les sentiments ne sont donc t-ils pas inutiles ? Cette considération même que vous évoquez est une émotion ... Et les émotions sont à bannir ... Cela répond à votre question ?

Enfin, après cette tirade, il reporta son attention sur les mots tracés sur le papier, relisant rapidement pour se replonger dans son travail. Quant à détacher la Milady ... Certes, il lui ferait peut-être quitté le fauteuil, mais cela ne l'empêcherait pas de lui faire lier à nouveau ses poignets pour qu'elle évite ainsi de pouvoir bouger les mains à nouveau ...


-Lacie-

-Le consentement du silence calme ... Mais si je manifeste mon désaccord par les gestes, comment le prendrez-vous ? Pour une confirmation ou une protestation ?

Demanda t-elle, un sourire amusé aux lèvres, cette fois. Peut-être que cette situation l'amusait tout autant que le prince Espagnol ? Allez savoir, une parfaite comédienne comme elle se devait de savoir faire paraître un subtile mélange de vérité ou de mensonge ... Un mensonge enrobé de vérité était le moyen le plus efficace pour faire croire au monde ce qui n'est pas.

-Mon apparence ne cache pas de sombres secrets à vos yeux ... Ne vous a tout-on jamais appris à ne pas se fier aux apparences ? J'ai l'air certes innofensive, mais qu'en est-il de la réalité ? Je vais vous le dire, les cadavres sur ma route passée sont nombreux ... Très nombreux ... Il fallait que je me venge tout en restant en vie, que je protège mes sœurs tout en restant dans l'oubli ... J'ai parfois prit une vie parce que cette personne avait malheureusement et par hasard, découvert qui je suis, ou tout simplement vu mon visage ... Suis-je donc toujours une oie si blanche que vos paroles le laisse à penser, maintenant ?

Puis, tout en tenant pareil discours, elle leva les yeux vers le plafond. A cette époque, révolue de nos jours mais toujours d'actualité dans ce RP, tuer une personne n'était pas quelque chose de rare. Non, c'était même courant ... Le plus difficile était de tout faire pour paraître innocent et ainsi passer à travers les lois ...

-Je vois ... Nombreuses sont les personnes hypocrites dans votre entourage ?


-Victoire-

-Je sais que Charles est mort et ne reviendra, je ne suis pas désespérée au point de croire que son fantôme reste à mes côtés ! Simplement, je ne vois en rien l'évidence dans le fait de vous épouser, vous dont les mains ont prit une vie qui comptait énormément pour moi ...

Cracha t-elle avec hargne, la douleur et la rage se lisant dans son regard à la couleur semblable à celle de son frère. Non, pour rien au monde elle n'épouserait cet homme ... Quant à remplir les conditions d'un contrat de mariage ... Jamais ! Perdue dans ces pensées, la demoiselle serra un peu les rennes, et le cheval sentait son anxiété, ce qui l'inquiétait et le fit reculer de quelques pas.

-Je ne vous permets pas ! Il n'était pas du niveau de Charles que de se battre contre une personne de votre habilité ! François savait pertinemment cela, et c'est la raison pour laquelle il est coupable de sa mort ! Quant à affronter mon destin, permettez-moi de vous demander lequel. Vous épouser n'est pas mon destin, il n'aurait jamais dû en être ainsi si les choses c'étaient mieux passées, si mon frère ne s'était pas mêlé de ce qui ne le regardait pas !

(Donc tu ne comptes pas jouer Mary? Je mets Nathaniel en stand-bye alors, je ne vais pas le jouer éternellement toute seule. En attendant je ne jouerai que Melodyl)

(lol)



Nathaniel avançait cherchant toujours Jamies du regard quand il aperçut une gente dame s'asseoir. Il s'agissait anglaise mais pas n'importe laquelle, il la reconnut il s'agissait de Mary Tudor. Elle mangeait un croissant au beurre. Il décida alors de s'approcher d'elle et d'engager la conversation, après tout peut-être pourrait-elle le renseigner.

Excusez-moi de vous importuner pendant que vous vous rassasier mais je me demandais si vous pouvez me renseigner. Je viens d'arriver et je souhaiterai m'excuser auprès du Laird de ces lieux mais impossible de le trouver. Ne l'aurez-vous pas vu?