(Je ne reste pas, j'inaugurais juste mon nouvel ordi ^^, bsx bonne nuit @++)


Ok; il était tout simplement barge. Ce garçon avait de sérieux problème car toutes personnes normalement constitué aurait aussitôt rejeté une personne aussi sauvage et insolente qu'elle. Aliisa fronça légèrement les sourcils. Jolie? Tss il se moquait d'elle, il n'ya avait pas d'autre explication. La jeune femme ne cherchait pas à être jolie, elle recherchait la liberté! Quelque chose de bien plus grandiose.
A: Vous êtes un grand malade…c'est triste pour vous. Je crois que votre cas est encore plus désespéré que le mien.
Soupira-t-elle en soutenant sa tête d'une main fatiguée.
Elle n'allait pas pouvoir lui faire renoncer de si tôt.



Le jeune homme se sentait à vrai dire plutôt gêné par la situation dans laquelle il se trouvait. Certes il avait déjà été proche d'une femme, et le contact physique n'était pas une nouveauté pour lui, mais il n'était pas très à l'aise d'être aussi près d'Elvire, sans doute parce qu'ils ne se connaissaient pas depuis très longtemps.
D: Vous n'avez qu'à commencer par le baiser, je n'ai pas encore réfléchi à ce que j'allais vous demander…
Dit-il en rougissant légèrement.

Aliisa pencha légèrement la tête sur le côté pour réfléchir un instant à ce qu'il venait de dire. Fuir? C'était si simple dans ces conditions, ça ôtait un peu de piment au jeu. Et puis dans l'état où elle l'avait retrouvé, il finirait en chair à pâté mangé par des loups si jamais elle le laissait seul de nouveau.
A: Je pourrais fuir, mais vous laisser seul ainsi ne serait pas très gentil de ma part. Surtout avec votre santé si fragile.
Lâcha-t-elle pour se moquer de lui.
A vrai dire elle disait ça simplement pour l'agacer et non parce qu'elle était au courant de ses problèmes de santé.

A: Tsss la beauté, ça ne sert pas à grand chose dans la vie. Enfin, c'est sûr que certaines femmes arrivent à en jouer pour obtenir tout ce qu'elles désirent mais moi je ne m'abaisserai pas à ça.
Dit-elle en fixant le vide.
Elle qui avait toujours été une jolie petite fille, ça n'avait pas empêché sa famille de l'envoyer loin de son pays en tant que demoiselle de famille moyenne. La beauté ne lui avait rien apporté, elle s'en fichait donc éperdument, les compliments ne le touchaient pas.



Darren observa la demoiselle, il devait avouer être légèrement soulagé de la voir prendre de la distance. Elvide ne lui était en aucun cas désagréable, il la trouvait très belle, mais il ne pouvait pas, ou n'osait pas la toucher alors qu'il la connaissait si peu. Le garde préférait prendre son temps de découvrir sa future femme plutôt que de se jeter sur elle sans retenu.
D: Non je n'ai personne en vue, je travaille trop pour avoir le temps de chercher l'amour. Je suis donc reconnaissant à votre famille de m'offrir une si jolie jeune femme.
Déclara-t-il en opinant d'un mouvement de tête.

La jeune femme jouait avec ses longs cheveux roux qui lui tombaient sur les épaules, elle continuait de regarder le garçon, écoutant ce qu'il avait à dire. Elle apprenait des choses en l'embêtant.
A: Sujet épineux? Ce qui signifie que j'aurai mis le doigt sur quelque chose. Vous voulez dire que vous êtes sérieusement malade…Hum, intéressant. Vous dites que votre famille ne doit pas être au courant de ce qui est arrivé aujourd'hui.
Aliisa laissa planer un long silence avant de sourire légèrement.
A: Nous pourrions nous arranger à ce sujet.



Le garde se releva, il avait mal aux articulations à rester dans une position agenouillée. Il se redressa rapidement avant de tendre une main bienveillante à Elvide.
D: Je ne sais pas, peut-être qu'un charme fou vous attire à moi et que vous ne pouvez vous empêcher d'être indécente.
Dit-il pour plaisanter.
Darren ne croyait absolument pas en un charme quelconque qui attirerait les femmes à lui. Il se satisfait de sa banalité.

Aliisa pencha la tête d'un côté puis de l'autre. Bien sûr, annuler le mariage était trop demander, mais d'autres choses étaient encore possible.
A: Je ne pensais pas encore à vous demander d'annuler le mariage, j'imaginais plutôt autre chose. Comme par exemple un peu plus de liberté, et puis de votre part plus de douceur et de sympathie parce que être attachée pendant que vous vous amusez comme vous l'entendez avec moi ce n'est pas un de mes rêves. Donc peut-être que si vous promettez de ne pas ma toucher, je ne dirai rien à vos parents sur votre "problème de santé" d'aujourd'hui.
Lâcha-t-elle.
La demoiselle était prête à se servir de n'importe quoi contre son futur époux.


Darren l'observa se relever, il la rattrapa lorsqu'elle perdit l'équilibre, mais elle se réajusta bien vite. Le jeune homme lui adressa un léger sourire.
D: Je ne suis pas spécialement choqué, mais j'aimerai juste que vous évitiez ce genre de chose en public. Ce n'est pas pour moi, mais pour ma famille je ne pense pas qu'il apprécierait. Par contre chez nous, vous pourrez faire ce que vous souhaitez dans la limite du possible, je ne suis pas là pour vous interdire de vous amuser. Sauf peut-être certaine chose trop dangereuse.
Répondit-il doucement.

Aliisa lui tira la langue comme une enfant, elle haïssait son fiancé parce qu'il l'agaçait au plus haut point.
A: Je n'attend pas de douceur de votre part. Beurk pas d'amour et de douceur, j'en ai la nausée rien qu'à y penser.
Lâcha-t-elle insolente.
A: Je ne demande que du respect, c'est tout. Vous me laissez tranquille, j'en fais de même. A la limite on se marie, on se parle jamais, on se voit jamais. Tout le monde et heureux.
Répondit-elle en le fixant très sérieusement.
L'amour, aimer quelqu'un...c'était au-dela de ses forces. Aliisa n'aspirait qu'à être une petite fille sauvage qui pouvait vivre au grès de ses envies.

La demoiselle fit mine de réfléchir avant de hausser les épaules.
A: Je peux toujours leur dire que c'était l'une de vos fantaisies qui nous ont conduit à nous comporter ainsi. Je suis sûre que l'un de vos rêves c'est d'être dans les bois avec une jeune femme attachée à un arbre. C'est le genre d'image qui vous va bien, vous un sadique homme. Bon certes les rôles sont inversés, mais c'est presque ça...


Le garde la regarda un instant avant de secouer la tête.
D: Je n'aime pas les femmes sottes, elles sont malheureusement d'une espèce que je ne comprend pas. Je préfère les femmes qui ont de la culture générale, ce qui me semble être votre cas. J'espère que vous veillerai à ne pas trop vous montrer sotte, ça ne vous irez pas.
Dit-il en laissant glisser sa main dans les cheveux d'Elvide, il lui remettait une mèche de cheveux en place.

A: Mon dieu! Je n'arrive pas à croire que vous partagez ce genre d'informations avec votre papa. C'est assez dérangeant à vrai dire. Comment est-ce que je vais pouvoir le regarder en face une fois que nous serons mariés?
Gémit-elle de façon théâtrale.
Elle se moquait légèrement, mais la situation était tout de même étrange. Elle ne pourrait vraiment plus le regarder de la même façon en sachant cela.

La demoiselle pencha la tête en arrière jusqu'à pouvoir voir le ciel avant de déformer sa bouche dans une grimace affreuse.
A: Trop d'informations!!! J'avais pas envie de savoir ce qui se passe dans votre vie privée. C'est immonde, maintenant je vais avoir des visions d'horreur.
Lâcha-t-elle en le regardant de nouveau.
Ce qui n'était pas tout à fait exacte car Aliisa ignorait à peu près tout des relations homme femme, elle n'avait jamais vu la gente masculine plus nu que la peau du torse découverte. Il fallait tout de même admettre qu'elle avait parfois assisté à certain ébats animaux dans la nature mais ses connaissances sur le sujet n'allait pas plus loin. La jeune fille n'avait pas non plus envie de les approfondir plus loin d'ailleurs.


Darren rigola légèrement en entendant sa réponse. Il secoua légèrement la tête.
D: Oh non, au contraire, j'espère que vous avez plus de culture générale que moi.
Dit-il en souriant.
Il n'était pas idiot, loin de là, mais il savait que si une jeune femme avait le temps d'étudier, elle saurait sûrement bien plus de choses que lui.
D: C'est gentil de votre part de vous en préoccuper. Je serai ravi d'avoir une femme comme vous à mes côtés.

(Je reposte pour Nono comme elle est revenue^^)

pensina a écrit:

(Je suis de retour !
Ok, pour Rosalya^^ Oui, tu t'en est bien souvenu, le maquillage de Rosa' ainsi que ces parfums ont prit un coup ! :p  )
(Bonne vacances, on t'attendra pour le mariage, de toute façon, je crois que Mimi et Kika pourront faire durer l'action de leur personnage durant un petit bout et t'attendre si jamais problème ! ^_^ )



Si ce n'était pas en pensant au passé que l'on avançait vers le futur, c'était bien le passé de Mirianne qui avait fait en sorte qu'elle se retrouve entre les mains d'un François diabolique quelques années après son enfance. Si elle n'avait jamais rencontré le François gentil et protecteur d'avant (le total contraire de la personne qu'elle avait en face d'elle maintenant) jamais il ne se serait souvenu d'elle et de sa ressemblance frappante avec la dénommé et défunte Miriam (ou peut-être que si ? Il aurait pu la rencontrer lors d'un banquet et se souvenir d'elle, non ? Enfin, c'était ce genre de détail infime dont nous ne connaîtrons jamais la réponse). Pour en venir à des sujets plus actifs, les bras de la jeune femme la faisait énormément souffrir après avoir été maintenus et continué à être maintenus dans cette position très peu confortable pendant trop longtemps. Mais bon, elle gardait le silence sur ce sujet et ne s'en plaignait pas, elle ne voulait pas donner un signe de faiblesse au souverain.

-Vous attendrez longtemps et moi je ne retrouverai jamais mes bras ni mes mains !

Autre manière de dire que l'idée de se suicider et d'entraîner le roi avec elle ne l'a quitterait jamais et lui tournait, depuis déjà longtemps, dans l'esprit. La future reine ou plutôt la chose symbolique qui accompagnait le roi sur le trône juste pour faire joli se fit ensuite traîner tout le long du couloir, couloir qui lui sembla interminable dans cette position de faiblesse et aussi près de son promit. Nul besoin de dire que la seul présence du monarque réussissait à éveiller sa haine et à lui nouer les entrailles de toute cette colère diriger vers le même et unique homme.

-J'irai faire mes félicitations à Sir James et à Lady Rosalya comme il se le doit et toute seule, comme une grande. Je n'ai nullement besoin d'être rappelé à l'ordre là-dessus ! De toute façon, je vous ai déjà dit que, en échange de la paix suite à cette journée, je me montrerai calme et polie mais, cependant, n'allez pas croire que je feindrai la gentillesse a votre égard. En fait, je n'ai aucune raison de me débattre, à part celle de m'éloigner de vous, puisque c'est contre vous que j'en ai et non contre tout les autres invités ! fit-elle tout en serrant les dents, son corps toujours aussi crispé, alors qu'ils venaient de franchir la grande porte principale.

Oui, Mirianne pouvait ce contenir et ne pas crier aux meurtres pendant une journée, elle en était totalement capable. En fait, la danseuse était comme une bombe à retardement; elle pouvait attendre avant d'exploser mais sa haine ne faisait que s'accumuler, c'était comme si on l'a crinquait avant de lui laisser de l'espace pour exploser. La porte de leur calèche s'ouvrit et, sans douceur, François la hissa à bord. Elle se cogna contre l'autre porte mais ne dit rien, se contentant de fusiller le français du regard et d'ensuite regarder les deux gardes devant eux. Ils devaient faire partit de la garde rapprocher du souverain sinon c'était une sacrée honneur d'être là pour eux ! S'ils étaient là pour la retenir (si jamais elle réussissait à se déprendre de la prise de son futur mari) c'était soit que François n'avait pas totalement confiance en sa force soit il ne voulait pas prendre de risque. D'une raison ou d'une autre, si elle réussissait à se déprendre, nul doute que les gardes allaient servir à quelque chose...

-Alors, vous souhaitez que j'arrive à mes fins ? Tout en sachant que la fin que je vise est votre mort ainsi que la mienne ? demanda-t-elle d'une voix sifflante et toujours aussi haineuse.

Elle eu une bref pensée pour le conseiller de François. Où était-il justement celui-là ? N'aurait-il pas dû prendre la voiture avec eux pour quitter la demeure de Jamies ?

-Pourquoi souhaitez-vous vous rendre à votre palais secondaire ? Auriez-vous le mal du pays ? Sachant que la mariage de Sir Jamies est demain, ne serait-il pas préférable de demeurer à son château ?

Mirianne tentait toujours de trouver son point faible. Tout être humain en avait un, il suffisait de trouver lequel. Tâche qui pouvait être plus difficile qu'elle ne semblait l'être...




En entendant la voix de sa fiancée, Jamies leva les yeux des papiers qu'il était entraine de remplir, certain en rapport avec leur mariage. Après s'être fait voler et son entrevu avec le jeune Darren, sa colère était monté puis tranquillement redescendu comme le voulait le cours normal des choses seulement entre-temps son bureau en avait prit un coup... Des feuilles déchirées et chiffonnées traînait un peu partout sur le sol, des livres aux pages froissées gisait aussi sur le plancher de bois franc ainsi que quelques plumes déformées en d'étranges formes. Autrement dit, son bureau était dans un bien sale état et son meuble de travail était passé proche de se faire renversé.

-Oui, vous pouvez entrer mais je vous avertit d'avance que je ne suis pas de l'humeur l'a plus agréable qui soit...

Personne n'aimait ce faire voler, c'était bien connu et cela même si ses coffres étaient encore bien plein à raz-bord.

Dernière modification par pensina (2013-08-31 01:59:23)

-À moins de me droguer une seconde fois, je ne crois pas que vous arriveriez à me faire dormir, de toute façon ! Quant à garder le silence, que je me plaigne ou non changera-t-il quelque chose dans la mesure où j'ai toujours cette furieuse envie de vous étouffer vif !

Et elle l'aurait fait, si elle avait été complètement libre de ses mouvements. Mirianne ne cherchait même pas à lui faire lâcher prise, elle l'encourageait même à la mettre en cage et à l'enfermer à vie. En fait, elle était résignée. Rien de ce qu'elle dirait ne ferait changer le Français d'avis alors tant qu'à le détester, Mirianne atteindrait le summum de la détestation.

-Je suis certaine que vos gardes sont beaucoup plus sympathiques que vous, lâcha-t-elle avec un sourire ironique ne s'attendant pas à plus de la part du souverain.

Si elle était aussi décidée à ne pas flancher et à ne pas se rabaisser à ce que lui demandais le roi c'était seulement qu'elle tenait à sa dignité et qu'obéir à François n'en faisait pas partit surtout que lui obéir ne lui tentait pas du tout. Un jour, il finirait bien par comprendre qu'elle n'était pas l'épouse idéale et ce malgré sa ressemblance frappante avec la dénommée Miriam et il regretterait son choix ! Que ce soit dans trente ou cinquante ans, elle ferait en sorte que François regrette de l'avoir prit pour femme ! Ensuite, il lui conseillait lui-même de le tuer mais dans l'anonymat. Super ! C'était comme si la souris conseillait au chat de l'attraper ! Ça n'avait aucun sens et on qualifierait la souris de suicidaire et d'imprudente ! C'était exactement ce qu'était son promit : un suicidaire très très très tordu.

-Pourquoi ne pas vous suicidez ? Ça aurait été beaucoup plus simple que de traverser le pays pour me sauver de mes fiançailles avec quelqu'un qui n'était pas vous !

Ne pas être François était maintenant une qualité que la danseuse admirait chez les hommes. Quant à tuer son fiancé sans être vue ni entendu et sans que personne ne puisse remonter sa trace, elle n'y avait jamais pensé. Dans sa tête c'était plutôt : tuer le frère de Victoire et m'enlever la vie par la suite en laissant un mot du genre : "Il faut se méfier des femmes même si elle paraisse faible et frêle, prenez soin de vos épouse où la même chose vous arrivera... C'est à dire, la mort ! Son futur mari n'était pas seul à avoir des idées un peu tordues...

-Je n'aurai pas détruit grand chose chez Jamies... Cependant, maintenant que vous le mentionnez, je me ferai un plaisir de détruire le mobilier de votre château !

Ainsi il n'avait pas le mal du pays... Bah, tant pis, elle trouverait bien autre chose.



Jamies plissa les yeux et observa le désordre qui régnait dans son bureau. Les serviteurs devaient être fatigués de ranger et nettoyer les objets sur lesquelles il avait passé ses nerfs... À chaque fois qu'il était en colère, le jeune homme agissait sans trop réfléchir et mettait le bordel dans la pièce dans laquelle il se trouvait et pouvait aussi se montrer plutôt violent avec ce qui avait déclenché sa colère comme lorsque Darren était venu dans son bureau et qu'il avait mit la vie de ce dernier en jeu si jamais il échouait la mission qui lui avait été donnée bien gentiment.

-Hum... Oui, je ferai venir un serviteur, finit-il par dire en regardant sa fiancée s'avancer dans la pièce.

Jamies secoua la tête.

-Vous pouvez rester si cela vous chante ! En fait, c'est plutôt une question s'adressant à vous : réussirez-vous à supporter mon humeur noire de l'instant ou bien partirez-vous ?

Sa colère était un peu retombée mais sa mauvaise humeur n'allait pas s'envolée.

-Je voulais vous dire, avant que vous ne partiez ou restez, que notre mariage se célèbrera au palais secondaire du roi de France, ici, en Écosse, nous nous épouserons en même temps que ce dernier et sa fiancée Mirianne Howard en signe symbolique pour ensuite signer un traiter de paix et d'alliance entre les Mackinnion et la France.

Adam regarda la jeune femme

Vous avez demandé à ce que je sois sympathique et là c'était sympathique, vous êtes vraiment contradictoire. Je tiens à vous dire que c'est plus le femme qui doit se préserver pour le mariage que l'époux, une femme perd son honneur moi je n'ai rien à perdre à leur enlever

Puis il regarda le chien.

Et toi mon ami, veux-tu monter avec moi? Tu auras moins mal à ta patte blessée et puis il y a une petite chienne qui veut te voir...



Elvide pensa sans rien dire "si vous savez qu'on est déjà monté à cheval ensemble"...Elle espérait juste que lors de cette promenade il ne fasse pas le lien avec son odeur...

Elle le regarda et sourit, elle ne pouvait refuser une telle requête.

Dans ce cas vu que cela vient de mon époux et donc je vous obéirai alors je ne suis pas contre une petite promenade à cheval bien au contraire surtout en votre compagnie.

J'aurai pris soin de lui jusqu'à votre retour, d'autant plus que le temps va se gâter d'une minute à l'autre, ce sera de la bouillasse...Mais j'imagine que cela ne doit pas vous poser de problème? Après tout vous voulez être sauvage jusqu'au vous donc autant rester sale et ne pas se laver. dit-il moqueur avant de regarder le chien.

J'ai de la peine pour le petit chien sincèrement puis il donna un coup de pied sur son cheval et partit.




Elvide le regarda, si elle montait sur son propre cheval cela se verrait trop que c'était une très bonne cavalière et elle aurait du mal à faire semblant de ne pas en être une alors elle monterait avec Darren si cela ne lui dérangeait guerre?

Oui allons-y, n'étant pas cavalière, j'imagine que je monte sur le même cheval que vous?

Adam chevauchait son cheval rapidement, un orage tomberait sans doute dans le coin et il refusait d'être mouillée, il détestait la pluie à vrai dire, il se hâta et arriva rapidement dans les écuries, mettant ainsi son fidèle compagnon en sécurité, caressant ce dernier, il était si doux avec l'animal, il ne pensait plus avec Aliisa.

Elle voulait de la tranquillité? Bah elle passera un moment dehors sous la flotte jusqu'à ce qu'elle revienne....



Elvide sourit, c'était bien la première fois que Darren était légèrement malicieux avec elle, à croire qu'elle lui plaisait bien la jeune femme marchait plus ou moins vite, du moins la vitesse que sa tenue lui permettait d'atteindre?

Cela ne me dérange pas au contraire je me sentirai ainsi en sécurité.

Adam était dans sa demeure, tentant d'éviter son père à tout prix, celui-ci lui demanderait certainement où il était passé et pour ses beaux habits se retrouvaient abîmer et s'interrogerait sur où était la futur mariée.

Le jeune homme alla dans la salle de bain afin de se décrasser et donna ses vêtements à une servante pour qu'elle nettoie...



Elvide passa alors devant lui et sourit.

Je suppose que vous voulez prendre votre monture? demanda-t-elle logiquement. Puis elle le regardait longuement souriant légèrement avant de passer sa main dans ses cheveux et de rougir légèrement...