(aucun soucis esperance ^^ )



Aelide était tout simplement dans le domaine de ses parents alors que sa cousine venait d’accueillir son futur époux, la jeune femme savait que prochainement ce serait à son tour vu que son père lui en parlait souvent, mais elle refusait que ce jour arrive, déjà l'amour ce n'est pas son truc mais le mariage arrangé c'était encore pire...La jeune femme restait dans ses quartiers, pensive.

(Tient il est bien temps que je répondre à mon Rp, ici !

Mimi, ta fille est inscrite.

Faunaia, pas de souci

Espérance, tu peux commencer à jouer ton gars avec la fille de Mimi et ta fille sera fiancée à un perso que Nono créera comme elle s'est gentiment portée volontaire ! ;)

Laloukou, ok, pas grave, entre-temps, je n'ai pas bougé la fiancée de Natrach qui est toujours sur un cheval, derrière ton perso alors qu'ils quittent la forêt "enchantée"

Pour le résumé:

Mimichousse et Pensina a écrit:

Jamies Mackinnion est à la tête de la plus puissante famille d'Écosse et il a des alliances avec énormément de pays dont la France, l'Espagne, l'Angleterre et bien entendu l'Écosse elle même.

François est le roi de France.

Will est le roi d'Écosse.

Pour le résumé :

Tu pourras facilement intégrer tes persos si tu les envois au palais de Jamies pour les célébrations du mariage de Sheena et Norton qui finissent et ensuite tes persos pourront se rendre au palais d'hiver/secondaire de François où sera célébré le mariage de Mirianne (sœur de la reine Mary d'Angelterre) et du roi de France ainsi que celui de Jamies et de Rosalya en double.

Beaucoup de perso sont dans le château des Mackinion si je ne dis pas de bêtises pour les festivités et le lendemain sera fêté le mariage de Mirianne, Francçois, Jamies et Rosalya.

Jamies est en colère après Darren car celui-ci a aidé un voleur à s'échapper, car en fait c'est une femme mais seul Darren le sait mais il n'a pas vu le visage de la voleuse qui est en fait sa future femme, il est dans le domaine des O'Brian où il a recontré pour la première fois sa future épouse.

Adam et Aliisa mais il la connait uniquement sous le nom de Hannah sont fiancés. C'est un marriage arrangé, cela ne plaît guère à Aliisa, lui Adam s'amuse de la situation, là il prend un bain dans son domaine et médite alors que Aliisa est dans le domaine d'Adam, dans sa forêt pour chasser.

Melodie est dans les écuries des Macknions si je ne m'abuse, elle s'est aperçue que Seiko l'observer, ils ignorent qu'ils sont fiancés, ils savent qu'il y a mariage arrangé mais pas avec qui. Nathaniel est avec Marie, mais pensi est en manque d'inspiration et ne lui répond plus. Il veut aider Marie à se défaire d'un homme qui la force à l'épouser, un homme plus ou moins cruel mais elle n'est pas d'accord...Les autres je ne sais pas.

Un léger sourire aux lèvres, elle avait quitté la grande-salle pour aller se balader dans es jardin du palais de Mackinnion. Marie était plutôt fière d'avoir réussi à dissuader un de ses admirateur de la demander en mariage en plus d'avoir gagner un cavalier pour la journée de festivités de demain. Avec les mariages du roi de France et du laird le plus puissant de tout l'Écosse, la journée risquait d'être joyeuse ! Secrètement, Marie espérait que la présence du blondinet à ses côtés rendrait Jamies légèrement jaloux. Elle était loin de se douter des projets cachés de Sir Nathaniel.

La situation tournait très mal, le cerf furieux allait percuter le chien d'une seconde à l'autre. Aliisa, si elle ne se dépêchait pas, allait pouvoir simplement observer le spectacle sanglant en temps que passive spectatrice. Mais elle s'était jurée de ne rien laisser arriver à son chien, et elle se tiendrait à cette promesse.

Un dernier élan lui permettrai d'atteindre l'animal. Ses doigts agrippèrent fermement l'échine du canidé qui lâcha un cri de douleur suite au pincement. La jeune fille ramena le jeune animal contre elle tandis qu'elle roulait au sol. Le grand mâle les avait raté de peu, mais dans sa charge colérique, il avait tout de même réussi à piétiner la sotte humaine qui s'était jetée sous ses sabots. Après un relevé de tête assez fier, le cerf s'éloigna suivi de son troupeau.

Aliisa s'en était plutôt bien tirée vue la situation. Elle gisait toujours au sol, le chien gémissant entre ses bras. Après quelques secondes d'immobilité la demoiselle finit par relever la tête pour regarder autour d'elle. Personne. Dans la clairière il ne restait qu'elle et le chien.
A: Id**t!
Murmura-t-elle à Keir en enfonçant sa tête dans sa fourrure soyeuse.
Pour le moment elle se contentait de ne pas trop bouger. Le cerf l'avait tout de même écrasé avec son sabot sur le bas de son dos. Elle devait avoir une légère blessure interne car un fin filet de sang coulait du coin de ses lèvres.



C'était assez étrange de savoir que bientôt il partagerait tout avec la demoiselle. Elle ne semblait pas manifester un quelconque regret, pourtant Darren de son côté ne pouvait s'empêcher de s'en vouloir de voler la liberté d'une jeune femme. S'il n'avait pas été au service de la famille …, il n'aurait jamais accepté une telle offre.
Il jeta un oeil à Elvide avant de sourire légèrement.
D: Très bien, alors ne tardons pas.
Dit-il en se dirigeant vers le cheval en tenant toujours délicatement la main de la demoiselle.

Aliisa finit par se mettre en position assise après plusieurs minutes à gésir au sol. La demoiselle n'était plus du tout présentable pour quoique se soit. C'était donc fortement râpé si Adam comptait toujours qu'elle soit la plus jolie jeune femme à l'évènement auquel ils devaient se rendre. D'ailleurs cela avait dû être annulé, quoique…elle se le demandait. Aliisa passa un doigt sur le coin de ses lèvres, le sang était toujours là. Un fin petit filet qui ne cessait de couler. C'était une très mauvaise idée de se jeter sous les sabots d'un cerf. Trop tard pour revenir en arrière maintenant. Et puis, elle n'avait pas encore abandonné l'idée de s'enfuir. Elle n'irait sans doute pas bien loin dans son état, mais dans son esprit elle était prête à franchir les montagnes les plus escarpées, les ravins les plus profonds pour sortir du territoire des Lowander.

La jeune femme ferma les yeux quelques secondes avant de se relever très lentement. Un grognement de douleur s'échappa de sa bouche tandis qu'elle se remettait finalement sur pied. Son côté gauche avait été bien écrasé par l'animal, elle osait à peine y jeter un coup d'oeil de peur de voir qu'un magnifique hématome orne le bas de son dos.



Darren restait très calme et tranquille, il regarda Elvide qui s'éloignait et sourit tristement. Mais cette expression quitta bien vite son visage lorsqu'il posa la main sur l'animal qu'il devait monter. La bête était magnifique, il caressa l'encolure du cheval avant de se retourner en direction de sa fiancée qui venait de revenir à ses côtés.
D: Je ne sais pas trop, je ne suis pas familier avec le territoire des O'Brian. Des idées?

Il va être déçu en voyant ce qui représente sa famille xD

La jeune femme avait réussi à faire une vingtaine de mètre, jusqu'à un ruisseau où elle pourrait se débarbouiller un peu du sang qui tachait son visage et quelques parties de son corps. Keir s'était très vite calmé après l'assaut du cerf, l'idée de courser une bestiole pareille ne lui viendrait plus pendant un moment à l'évidence. Il s'assit au bord de l'eau, laissant sa maîtresse s'occuper de ses blessures.

Aliisa but quelques gorgées d'eau avant de se figer. La douleur au niveau du bas de son dos se faisait ressentir avec vigueur. Elle finit par retirer la chemise d'homme qu'elle avait piqué dans la demeure de son futur époux et la plongea dans l'eau afin de s'en servir pour passer de l'eau fraîche sur le bleu qui recouvrait une partie de son dos.



Darren ne savait que répondre à Elvide, y avait-il un certain sous-entendu à comprendre là dedans? Peut-être bien, mais de toute façon il n'arrivait pas à le saisir alors autant ne pas trop creuser. Le chevalier opina d'un mouvement de tête pour répondre à la demoiselle.
D: Très bien. Allons où lui veut aller.
Il se prépara donc à se mettre en selle, ce fut une affaire de minutes avant qu'il ne soit en selle tendant la main pour aider Elvide à le rejoindre.

Adam cherchait sa futur épouse dans son domaine elle n'y était pas. Elle avait sans doute une fois de plus essayer de s'enfuir, elle ne comprendra donc jamais pensa-t-il avant de soupirer. Le jeune femme alla alors chercher une monture, il prit un chien avec lui lui faisant sentir ce qu'il avait comme odeur de sa bien aimée et partit pour la retrouver.

Le jeune homme s'attendait à tout de la part de cette sauvage, il espérait juste qu'elle soit en vie, quoi que même si elle était morte cela ne le gênerait pas plus que ça.



La jeune femme n'avait pas lancé de message codé subtile ou alors c'était inconsciemment. Quand il lui tendit la main, elle l'attrapa afin de se hisser derrière lui sur la monture, la demoiselle posa alors ses mains autour de la taille de son futur époux afin de ne pas tomber, elle faisait un peu semblant d'être la fille qui ne savait pas très bien monter à cheval.

Je suis sûr que vous aimerez cette promenade.

(Vraiment désolée de ne pas être passée avant, vous aussi vous m'avez manqué T.T)

-François-

Le Roi avait remarqué la réaction de la jeune femme, sa réticence non cachée lorsqu'il s'était rapproche d'elle, distance qui avait semblé visiblement vie courte à la jeune femme au vue de son recul. Mais qu'est-ce que cela lui importerait-il ? Demain elle serait sa femme, à lui, sous son pouvoir. Et quand même bien elle refusait cette union, sa demi-soeur Mary l'y obligerait. Cette alliance était une véritable chance aux yeux de la reine d'Angleterre, une incroyable chance qu'il ne fallait pas laisser passer ... Et qui, si ce contrat de fiançailles était rompu, pourrait très vite tourner à la guerre ...

-Parce que vous êtes ma future femme. Et que cette réponse vous satisfait ou non m'importe peu, je suis peut-être un tyran à vos yeux mais je tiens tout de même à remplir mon devoir d'époux, qui est en autre de ne pas vous laisser mourir.

Réponse professionnelle et non personelle, comme toujours me direz-vous. Sur ces mots, le souverain reprit la marche pour rentrer dans le château, fuyant ainsi la froideur de la nuit bien que cela ne semblait pas l'incommoder.


-Rosalya-

Rosalya n'avait que faire de cette fureur pour l'instant. N'était-elle pas momentanément calmée ? De plus, elle n'avait rien à voir dans ces histoires de vol, et n'en était même pas pour ainsi dire au courant, alors comment pourrait- elle réanimer les braises qui deviendraient feu ardent ?

-Trop gourmande ? Est-ce être gourmande de passer du temps avec son mari ?

Demanda t-elle avec une moue enfantine, un air innocent sur le visage mais une lueur d'amusement dans ses yeux bleu océans. Petit détail, elle venait de revendiquer Jamies comme étant son mari et non plus son fiancé. Mais quelque chose dans l'attitude de la jeune femme indiquait que ce n'était pas de la docilité dont elle faisait preuve. Car Rosalya était loin d'être une docile. Si Jamies la voulait pour femme, elle le voulait pour homme, mais pas comme maître. Tout ceci était en quelque sorte un jeu. Un jeu réel et dangereux dans lequel sa sécurité, voire peut-être même sa vie était en jeu ...

-Mais je m'échapperai pas. Je serai à vous tout comme vous serez à moi ... Je doute aller papilloner autour d'autres hommes que vous puisque vous connaissez ma répugnance pour la gente masculine ... Vous êtes le seul qui me convienne et certainement le seul à jamais ...

"Du moins, temps que vous ne rompez pas votre promesse" pouvait-on lire dans son regard ...

-François-

On aurait put s'attendre à sa royale indifférence, ou simplement à une remarque dénuée de sentiment, tranchante et glaciale, mais peut-être pas à cette réaction. A peine entré dans sa demeure, en entendant les mots de Mirianne, François se stoppa net. Avant de se retourner tout aussi brusquement, tenant les poignets de sa future femme, cette jeune rebelle qui luttait contre lui, ne lui laissant pas le temps de s'écarter.

-Vous êtes une créature bien têtue, Marianne, mais sachez que je le suis aussi. A demander des justifications à la moindre de mes décisions, vous ne faîtes que perdre du temps. Vous vous battez dans le vide. J'ai beau vous donner les armes pour m'atteindre, vous refusez de les empoigner pour me faire tomber, moi, l'être que vous détestez. Vous n'en faîtes qu'a votre tête ? Très bien, continuez sur cette lancée mais sachez que cela se résoudra toujours par des échecs. Actuellement vous n'êtes pas plus dangereuse qu'un petit chien : vous aboyez fort mais êtes incapable de mordre.

Ensuite, comme si rien de cela ne s'était passé, il se retourna, la lâcha et reprit son chemin.


-Rosalya-

-Vraiment ? Puisque nous sommes promis l'un à l'autre et qu'il nous reste moins de 24 heures avant d'être mariés, je pensais que cela passerait ...

Dit-elle avec une moue faussement innocente, feignant de ne pas savoir avant d'afficher un léger sourire en coin amusé mais pas insolent.

-Avant vous n'étiez pour moi que Jamies Mackinnion, le laird, l'homme, l'ennemi. Mais à présent, vous avez su me montrer que vous n'êtes pas seulement une créature de la gente que je déteste, mais avant tout un être humain comme moi, un égal, et non un danger. Vous ne m'avez pas sauté dessus comme n'importe quel autre mortel perfide, et à cela j'ai répondu par un essai de confiance. Je connais à présent Jamies, pourquoi devrai-je vous craindre alors que vous n'êtes pas uniquement un homme ?

Puis, vinrent les derniers mots du Laird. Immédiatement, Rosalya eut un sursaut de peur, se crispa avant de se reculer brutalement. Son regard n'était plus en rien joueur, simplement mélancolique, hésitant.

-Que préférez-vous, le mensonge ou la vérité ? Personnellement, je ne tiens pas à vous mentir, j'ai trop de respect pour vous en cet instant. Je ne peux prétendre vous aimer dans le sens où vous l'entendez. Cependant, je ne vous hais point. Le simple fait de vous faire confiance est pour le moment une preuve de mon attachement pour vous. Je suis certes attirée par vous, par ce que vous êtes, car vous respirez à la fois l'humanité et la puissance, la douceur et la vaillance, vous imposez le respect aussi. Vous êtes une personne spéciale, mais de là à m'attacher désespérement à vous, à pleurer vos absences et hurler de joie en vous voyant, pas encore. Je ne suis pas encore amoureuse de vous Jamies, mais peut-être qu'avec le temps ... Peut-être que vous seriez capable de réanimer mon coeur, à le faire battre à nouveau, et réveiller les braises éteinte d'un amour ... Je ne sais que dire d'autre, et peut-être au risque de vous blesser, j'ai préféré dire la vérité ... Et vous, pourrez-vous me dire ces mots ou alors est-il, comme moi, trop tôt ?

Adam était à sa recherche, même s'il ne le montrait et prônait qu'il s'en fichait qu'elle soit en vie ou pas, le jeune homme avait quand même un soupçon d'inquiétude. C'était très léger mais présent. A vrai dire le jeune homme préférerait la tuer de ses propres mais si vraiment elle devrait mourir que ce soit la fatalité qui en décide autrement.

C'est alors qu'il aperçut le chien de sa future épouse, il descendit alors attachant son cheval et s'approcha doucement de l'animal s'abaissant légèrement.

Dis-moi où es ta maîtresse? dit-il d'une voix à moitié inquiète.



Elvide n'était pas habituée à recevoir de compliment alors elle fut tout de suite gênée et ses joues se mirent à rougir et davantage lorsqu'il se retourna vers elle.

La jeune femme répondit toutefois

Vous me trouvez fascinante? Et moi qui avais peur d'être ennuyante....Vous me voyez flattée

Leur route commencèrent alors, la bête lui fit faire le tour du domaine des O'Brian qui était assez vaste avant de s'arrêter près d'une sorte de petit lac.



Le jeune homme aperçut alors Marie mais décida de la laisser tranquille ne voulant pas être perçu comme un "pot de colle" ou comme quelqu'un de trop barbant. Le jeune homme pensa qu'elle avait besoin d'être seule surtout lorsqu'il remarqua qu'elle avait vivement détourné son regard de lui, ce qui pouvait signifier de nombreuses choses: elle n'appréciait pas sa compagnie ou était-ce l'inverse? Est-ce une manière de dire qu'elle ne veut pas qu'il s'approche. Il resta à sa place regardant le paysage.

Le jeune homme regarda alors le chien, ravi que celui-ci lui obéisse sans qu'il ne l'oblige. Il le suivit alors jusqu'au ruisseau où il découvrit la jeune sauvage dans un état plus ou moins pitoyable, on aurait dit une lavette, vive la représentation familiale et en plus elle était plutôt dans une tenue indécente. Le jeune homme se retourna un instant lui tendant sa cape vu qu'elle était dans l'eau à moitié nue.

Ne la regardant pas par respect il annonça

Vous feriez mieux de vous vêtir avec cela et de me suivre, on va vous soigner....car vous êtes effrayante...



Elvide descendit alors du cheval quand celui-ci s'arrêta et sourit à la remarque de son compagnon de route avant de déclarer:

Je pense qu'on ne connaît jamais personne totalement même pas soi-même.

Puis elle se concentra sur le paysage s'asseyant près du ruisseau pour y tremper ses pieds.

C'est mon endroit préféré il semblerait que je ne sois pas la seule...

Le jeune homme soupira, elle était vraiment désespérante, elle ne lui donnait pas le choix.

Je vous l'ai demandé gentiment, vous m'obligez à passer par des manières moins courtoises. Il se retourna, l'entoura de sa cape pour ne pas qu'elle attrape froid, et se mit à la porter à la manière d'un chevalier servant pour ne pas accentuer ses blessures même s'il aurait préféré la porter comme un sac à patate.

Vous avez besoin d'être soignée, nettoyée et d'avoir de nouveaux habits.



La jeune femme toucha ensuite la rivière avec sa main de manière délicate alors qu'une brise légère faisait légèrement volé dans le vent ses jolis cheveux noirs.

Je me réfugie souvent ici lorsque je suis triste ou contrariée, autant vous dire que cela m'arrive souvent. D'ailleurs ces temps-ci je suis contrariée et cet endroit m'apaise.

Bien entendu elle ne lui dirait pas la vrai raison du pourquoi.

Essaie de m'en empêcher dans cet état. Tu es lamentable. Et moi je suis décidé à te soigner, le mariage on verra ça plus tard, le plus important c'est que tu sois guéri. Mais vu comment tu saignes, je ne pense pas qu'on arrivera à temps là-bas alors je vais tenter de soigner tes blessures ici, du moins empêcher que cela saigner davantage et ça peu importe ce que tu en penses.

Adam était gentil pour diverses raisons d'abord car son père s'énerverait contre lui si elle mourait, de deux il ne voulait pas qu'elle meure ainsi sans dignité et de trois bah allez savoir.



(ok bisous)

Elvide le regarda et tenta de le rassurer

Ne vous en faîtes pas ce n'est pas le fait de me marier qui me chagrine même si je n'ai pas d'autres choix mais je vous apprécie. Ce qui me chagrine c'est qu'on vous oblige à m'épouser et que je doute que vous pouviez dire non. En fait, je me sens triste à l'idée de devoir causer des ennuis à mon propre époux car je suis loin d'être la femme idéale et pour tout dire j'aurai préféré qu'on demande ma main car on ressent des sentiments à mon égard mais cela va passer ce n'est rien voyez-vous.